-
Par ZAZOUE le 11 Avril 2015 à 06:24
Dans l'obscurité je vois un homme et une femme,
Je dois dire qu'il fait très sombre,
Mais il se dessine des silhouettes,
Qui me rendent pas muettes,
Un bel instant de tendresse,
Mais qui se renouvelle,
À la lueur d'une flamme,
Mais soudainement les gestes s'affolent, ,
Et ça m'étonne ,
Et il se rapproche doucement,
Bien sûr en respectant le silence,
Ils se touchent et se séparent furtivement,
Enfin un long baiser brûlant,
Je dois avouer que c'est touchant,
Et à la fois surprenant et émouvant,
Mais il n'y a plus de repères,
Pas la moindre bulle d'air,
Et moi qui espère ,
Là je vois que ces deux êtres sont nets et clairs,
Mais les secondes se perdent ,
Ils s'envolent vers le ciel,
Instant magique mais qui peut-être tragique,
Jusqu'à la phase finale,
C'est l'extase totale ………..
votre commentaire -
Par ZAZOUE le 28 Mars 2015 à 13:48
Je voulais te voir ,
Juste pour te parler ,
Mais tu ne fais que de passer ,
Je viens juste de m'en apercevoir ,
J'ai vu une ombre au loin ,
Qui avait l'air de te ressembler,
Mais j'avais peur de ne pas gérer ,
Mais dans le fond,
C'était qu'une vaste impression,
Je voulais annuler,
De tenter cette aventure,
Mais je n'ai pas osé,
Chercher la démesure, ,
J'aurais voulu te voir
Braver les inquiétudes ,
Mais tout avant de craindre ,
L'incertitude ,
Je suis émue de te décevoir
Mais ce qui m'inquiète le plus,
C'est la solitude ,
Il faut en prendre l'habitude
Et ce n'est pas facile tu peux me croire ,
Il ne faut pas m'en vouloir ce soir …….
votre commentaire -
Par ZAZOUE le 24 Mars 2015 à 13:28
Comme le monde est beau ,
Et au loin j'entends le chant des oiseaux ,
N'est -ce pas des étourneaux,
Qui sont aux côtés des ruisseaux,
Ils boivent de l'eau ,
Mais ils volent très haut,
Tu peux monter solitaire ,
Et gravir des sommets ,
Tu as l'air de te plaire dans les airs,
Tu passais là dans le coin
Tu ne disais rien,
Mais ça n'a pas l'air de te déplaire ,
Bel oiseau de la terre,
Tu viens de changer de planète ,
Je te voyais venir le dimanche,
Et toujours sur la même branche ,
Mais son doux sifflement charmée mon oreille,
Qui gentiment reprenait à tue tête,
Il sifflait la même gamme,
Et je devais me taire,
Pour ne pas briser ce charme,
Et dans cette petite tête ,
Il reprenait la même rengaine ,
Une vraie merveille ,
Et les couleurs parfaites ,
Étainet assez claires ,
Et un beau jour il partit ,
Vers un pays inconnu
Et je ne l'ai plus jamais revu ,
Et je suis déçue …..
votre commentaire -
Par ZAZOUE le 20 Mars 2015 à 06:01
En ce jour de printemps,
Je ne ressens aucun sentiment,
Ces frissons perdus depuis longtemps,
Mais j'ai besoin tant de tendresse,
Que j'aimerais stopper cette détresse,
Et je devient faible ,
Mais où est-elle ma jeunesse ?
Tout se passe dans la tête ,
Mais je ne veux pas devenir une pierre,
Ça serait trop bête,
Il faut que j'intervienne auprès d'elle,
Je n'en suis pas très fière,
Et il faudrait que je l'admettre,
Mais cette gentille demoiselle,
À l'air pas tout à fait nette ,
C'est une vraie tête en l'air,
Si je peux me le permettre ,
Je peux lui papoter un peu de chaleur,
Pour renouer avec son cœur,
Et pour lui procurer un peu de bonheur,
Maintenant que le soleil va naitre ,
Il va lui falloir un peu de bien-être ,
Mais je reste satisfaite,
Car je l'aide,
Elle va me remercier car vivre dans la flemme
Est un réel problème ,
Quand elle monte les escaliers ,
Elles se sent fatiguer ,
Et si elle va voir ses amis,
Elle ne pense qu'a dormir ,
Ça ne peu plus durer ,
Elle va détruire tout son avenir,
Mais que faudrait-il faire,
Pour quelle sorte de cet enfer ,
Et pourtant c'est une jolie blondinette ,
Il faut que je me dépêche ,
Et que je lui trouve une autre facette ,
Parce que pour le moment elle est tristounette,
Il faut quelle devienne une starlette,
Bien c'est le moment il est chouette
Et comme le printemps vient de renaitre ,
Il faut se mettre à l'œuvre pour quelle soit belle,
Ensuite elle ira voir les pâquerettes,
Dans la prairie parce quelle aime ………….
votre commentaire -
Par ZAZOUE le 18 Mars 2015 à 12:18
Je sens comme des parfums enivrants ,
Oui c'est bientôt le printemps ,
Sous un soleil capiteux invitant ,
Deux cœurs esseulés parcours doucement,
Et les mots n'ont pas besoin de discours,
Nous entendant en silence le cours d'eau,
Et ce n'est pas un bruit nouveau,
Quelquefois nous empruntons les sous- bois,
Nous rencontrons des chiens mais jamais ils aboient,
Nous faisons quelques pas hésitant ,
Mes pensées fuient lentement,
C'est vraiment le silence ,
Et nous sentons une absence,
Mais qui es tu vraiment ?
Une ombre qui est caché discrètement ,
Pas la moindre appréhension ,
On trouve sur le chemin sans hésitation,
Que des solutions,
Qui sont assez surprenantes ,
Des promenades aux parfums éternels,
Temps privilégié , hors du temps temporel,
Mais que fait cette jolie demoiselle,
Elle cueille des pâquerettes ,
Pour l'offrir à son amour traditionnel,
Puis vint une pluie torrentielle ,
Allons se mettre à l'abri sous cette tonnelle ,
Ce n'est qu'un simple éclair,
Qui vient éblouir notre amour fidèle ,
Cette fille serait-elle sensuelle !
Ça c'est une première ,
Elle qui vient d'un village traditionnel ,
Qui a une culture exceptionnelle,
Et c'est tout un rituel ……….
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique